Bruges, 2ème
Peut être que je perds là main sur comment raconter sa vie et ses pérégrinations, mais ce récit là est parti de manière particulièrement désordonnée. Comment, après une minuscule évocation des fameuses façades, avoir embrayé sur du moins connu ? Reprenons-nous. Aujourd'hui, rattrapons une dose de célébrité avec le fort connu beffroi.
Verdict ? Je manque diablement de la moindre photo potable du splendide batiment. Coup de coeur particulier, en revanche, pour ces places dégagées : après de mutiples rues plus ou moins étroites, aux façades hautes et dentelées, quel plaisir de déboucher soudain sur ce vide en pleine ville, véritable espace où respirer.
Ce que n'illustre pas du tout la photo ci-dessus, prise un jour de marché. Les marchés, j'ai déjà dû le dire une ou deux fois, sont aussi des lieux où j'aime à me perdre et traîner... Celui-ci n'a pas fait défaut même si, parcouru le mercredi, j'ai trouvé qu'il ne valait pas celui du samedi, plus au sud de là ville. Là bas on y avait trouvé absolument tout ce qui pouvait nous passer par la tête, des chaussures aux kiwis... En passant par les lapins de compagnie dans un stand d'animalerie ; qui faisait presque face à d'autres lapins, quasi les mêmes. Mais ces derniers cotoyaient des poules et des canards (sur pattes, observant leur public avec cet air... insondable qu'ont les volailles) et semblaient tous désignés à l'élevage ou la casserole.
Enfin, revenons au beffroi. Une certaine déception en fait. Les tarifs sont loin d'être donnés, et les explications plutôt chiches.
Une première salle parle un peu des archives qu'elle contenait, de l'incendie qui les a réduites en poussière. Puis, beaucoup de marches (étonnant, me direz-vous), un palier avec des mécanismes du carillon (en panne lors de notre passage) et un étage minuscule, fortement encombré par ces mécanismes, offrant deux ouvertures grillagées sur la ville. Le paysage en reste assez sympathique, ainsi que les indications du rebord de fenêtre.
(notez l'église recouverte pour travaux ; léger sourire de ma part, celle de ma petite ville d'origine ayant longtemps porté le même genre de "capote", dixit les délicats commentaires des locaux)
Verdict ? Je manque diablement de la moindre photo potable du splendide batiment. Coup de coeur particulier, en revanche, pour ces places dégagées : après de mutiples rues plus ou moins étroites, aux façades hautes et dentelées, quel plaisir de déboucher soudain sur ce vide en pleine ville, véritable espace où respirer.
Ce que n'illustre pas du tout la photo ci-dessus, prise un jour de marché. Les marchés, j'ai déjà dû le dire une ou deux fois, sont aussi des lieux où j'aime à me perdre et traîner... Celui-ci n'a pas fait défaut même si, parcouru le mercredi, j'ai trouvé qu'il ne valait pas celui du samedi, plus au sud de là ville. Là bas on y avait trouvé absolument tout ce qui pouvait nous passer par la tête, des chaussures aux kiwis... En passant par les lapins de compagnie dans un stand d'animalerie ; qui faisait presque face à d'autres lapins, quasi les mêmes. Mais ces derniers cotoyaient des poules et des canards (sur pattes, observant leur public avec cet air... insondable qu'ont les volailles) et semblaient tous désignés à l'élevage ou la casserole.
Enfin, revenons au beffroi. Une certaine déception en fait. Les tarifs sont loin d'être donnés, et les explications plutôt chiches.
Une première salle parle un peu des archives qu'elle contenait, de l'incendie qui les a réduites en poussière. Puis, beaucoup de marches (étonnant, me direz-vous), un palier avec des mécanismes du carillon (en panne lors de notre passage) et un étage minuscule, fortement encombré par ces mécanismes, offrant deux ouvertures grillagées sur la ville. Le paysage en reste assez sympathique, ainsi que les indications du rebord de fenêtre.
(notez l'église recouverte pour travaux ; léger sourire de ma part, celle de ma petite ville d'origine ayant longtemps porté le même genre de "capote", dixit les délicats commentaires des locaux)