Bruges, 3ème
Il y avait encore tant à voir à Bruges !
Des dizaines de rues, dont le pavé a bien usé nos semelles. En y restant assez longtemps, et puisque tout s'y fait à pied pour peu d'y être directement logé, on peut se donner le luxe de décider d'aller d'un point à un autre en empruntant le maximum de rues non encore visitées.
On croise ainsi beaucoup de lions des Flandres comme celui-ci, qui figure sur une très belle arche dans une bien mignonne rue... Encombrée de plots et barrières de chantier lors de mon passage, donc photo prise en vitesse.
Et évidemment, comment ne pas en parler -parce que je n'en ai pas de photo, me direz vous-, ses multiples musées.
Une sacrée (sans doute le terme juste au vu des thèmes principaux) collection de tableaux, des primitifs flamands en particulier.
Et parfois dans des bâtiments qui méritent le détour à eux tout seul, tel le Sint-Janshospitaal, qui abrite quelques merveilles dans les murs magnifiques d'un ancien hopital.
Du palais du Franc de Bruges, une photo extérieure ; le batiment (ici à gauche), encore utilisé par le conseil municipal, trône sur une place bien belle, qui jouxte la basilique du Saint-Sang, sa vraie relique (ou supposée !), sa confrérie qui la promène encore dans les rues de temps en temps et ses fresques un peu partout.
Tout au sud de la ville, là où les canaux se rejoignent au bord du lac joliment nommé Amour, on peut trouver le calme serein et peut être un rien anglais d'un ancien béguinnage. Ronde de petites maisons blanches autour d'une belle pelouse arborée.
Et puis on peut passer au moins culturel.. Ou plutôt à un autre genre de culture. Bruges c'est la Belgique et nous étions Français donc les musées au tarif un peu élevé mais au contenu bien intéressant, du chocolat et de la frite !
Qui eut cru qu'il y avait tant de vitamine C dans une pomme de terre, et si peu de sucre dans les premières boissons chocolatées ?
Et pour finir encore moins culturellement, ma passion des enseignes a encore trouvé à frapper dans ces jolies rues pavées.
Je n'ai d'ailleurs pas eu l'occasion de trouver tant d'informations sur ce Zwarte kat, visiblement un café, dont mon flamand inexistant me permet tout de même de deviner une traduction, et ma culture parisienne ne peut s'empêcher de voir un lien inexpliqué avec le cabaret de Montmartre.
Le pélican assez célèbre -du moins d'après la rubrique du guide- décore un ancien Hotel-Dieu, ces maisons religieuses accueillants les plus démunis.
A ma grande honte -je suis, quelque part, sensée posséder un petit bagage en histoire-, nous sommes restés un certain temps perplexes devant ce "mouton pendu", qui nous semblait assez morbide comme enseigne de restaurant. Heureusement, quelques informations plus tard mes neurones connectaient pour y voir plus judicieusement le fameux ordre de la Toison d'Or, fondé en 1430... à Bruges !
Pour ce qui est du quelque peu morbide mais qui nous a bien fait sourire, je concluerai donc plutôt sur cette rotisserie croisée au marché...
Des dizaines de rues, dont le pavé a bien usé nos semelles. En y restant assez longtemps, et puisque tout s'y fait à pied pour peu d'y être directement logé, on peut se donner le luxe de décider d'aller d'un point à un autre en empruntant le maximum de rues non encore visitées.
On croise ainsi beaucoup de lions des Flandres comme celui-ci, qui figure sur une très belle arche dans une bien mignonne rue... Encombrée de plots et barrières de chantier lors de mon passage, donc photo prise en vitesse.
Et évidemment, comment ne pas en parler -parce que je n'en ai pas de photo, me direz vous-, ses multiples musées.
Une sacrée (sans doute le terme juste au vu des thèmes principaux) collection de tableaux, des primitifs flamands en particulier.
Et parfois dans des bâtiments qui méritent le détour à eux tout seul, tel le Sint-Janshospitaal, qui abrite quelques merveilles dans les murs magnifiques d'un ancien hopital.
Du palais du Franc de Bruges, une photo extérieure ; le batiment (ici à gauche), encore utilisé par le conseil municipal, trône sur une place bien belle, qui jouxte la basilique du Saint-Sang, sa vraie relique (ou supposée !), sa confrérie qui la promène encore dans les rues de temps en temps et ses fresques un peu partout.
Tout au sud de la ville, là où les canaux se rejoignent au bord du lac joliment nommé Amour, on peut trouver le calme serein et peut être un rien anglais d'un ancien béguinnage. Ronde de petites maisons blanches autour d'une belle pelouse arborée.
Et puis on peut passer au moins culturel.. Ou plutôt à un autre genre de culture. Bruges c'est la Belgique et nous étions Français donc les musées au tarif un peu élevé mais au contenu bien intéressant, du chocolat et de la frite !
Qui eut cru qu'il y avait tant de vitamine C dans une pomme de terre, et si peu de sucre dans les premières boissons chocolatées ?
Et pour finir encore moins culturellement, ma passion des enseignes a encore trouvé à frapper dans ces jolies rues pavées.
Je n'ai d'ailleurs pas eu l'occasion de trouver tant d'informations sur ce Zwarte kat, visiblement un café, dont mon flamand inexistant me permet tout de même de deviner une traduction, et ma culture parisienne ne peut s'empêcher de voir un lien inexpliqué avec le cabaret de Montmartre.
Le pélican assez célèbre -du moins d'après la rubrique du guide- décore un ancien Hotel-Dieu, ces maisons religieuses accueillants les plus démunis.
A ma grande honte -je suis, quelque part, sensée posséder un petit bagage en histoire-, nous sommes restés un certain temps perplexes devant ce "mouton pendu", qui nous semblait assez morbide comme enseigne de restaurant. Heureusement, quelques informations plus tard mes neurones connectaient pour y voir plus judicieusement le fameux ordre de la Toison d'Or, fondé en 1430... à Bruges !
Pour ce qui est du quelque peu morbide mais qui nous a bien fait sourire, je concluerai donc plutôt sur cette rotisserie croisée au marché...
